Algérie: Le rôle capital des structures tribales

16 Septembre 2002

Avec l'échéance des élections municipales qui pointe à l'horizon, les discussions autour du prochain maire du patelin s'intensifient aussi, nonobstant l'indifférence observée chez les jeunes. Les cafés de plusieurs petites et même des grandes communes de la wilaya de Jijel sont devenus, par la force du temps, des salons de débats. Des échanges de vues souvent animés entre différentes composantes de la société locale, politique, ont vu le jour.

A partir d'une esquisse rapide, non exhaustive, de l'identité collective des animateurs de ce genre de débats, le programme importe peu, pas plus que de savoir de quel douar ou tribu sera issu le prochain maire.C'est le cas de le dire dans des communes telles que Chekfa ou Texenna. L'observation du champ politique dans cette dernière nous conduit à dire que le poids des trois tribus dans les élections est présent d'une façon prégnante parmi les archs de Beni Khetab, Beni Amrane et Beni Foughale. Cela dit, par la composante humaine et dans le passé de l'Assemblée communale de Texenna, nous pouvons dire que le facteur tribal a toujours été respecté à chaque fois dans la distribution des rôles au sein de l'APC.

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