Brazzaville — Réagissant à la déclaration du gouvernement de son pays l'interdisant
de se présenter au Tribunal de grande instance de Meaux (France) qui
instruit l'affaire des 353 disparus du beach de Brazzaville, le
général Norbert Dabira a indiqué qu'il «n'a jamais torturé, ni enlevé
ni tué».
«Le gouvernement congolais a pris la décision de m'interdire de
comparaître devant le Tribunal de grande instance de Meaux. Je me
soumets à la décision de mon Etat avec lequel je suis juridiquement
et politiquement attaché, en qualité, d'abord de Congolais, puis
d'officier général encore sous le drapeau. Je ne peux me dérober aux
injonctions de mon pays. J'ai déjà manifesté ma bonne foi en me
présentant devant les juges français.
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