L'actuelle visite d'une semaine à Paris du président congolais, Denis Sassou-Nguesso, a fait face aux protestations de groupes de défense des droits de l'homme basés autant en France qu'en République du Congo.
Ces groupes sont en colère en raison du prétendu manquement de Brazzaville à inculper les responsables de la disparition de plus de 350 Congolais, qui revenaient au pays en 1999 après s'être exilés en République démocratique du Congo (RDC) voisine.
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