Trois groupes rebelles burundais ont déclaré qu'ils envisageront à nouveau
de participer au Gouvernement de transition, compte tenu que ce dernier ne dispose d'"aucune autorité sur les services de défense et de sécurité" pour protéger la population du Burundi.
Cette déclaration a été conjointement publiée le 20 septembre par Léonard
Nyangoma, du Conseil national pour la défense de la démocratie (CNDD),
Joseph Karumba, du Front pour la libération nationale (FROLINA), et Antoine Sezoya Ngabo, du Parti pour la libération du peuple Hutu (PALIPEHUTU), comme réaction aux informations relatives au massacre de plus de 170 personnes dans la province de Gitéga, au centre du pays, le 9 septembre.
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