L'éditorial est introduit par l'état des lieux qui se teinte de quelques couleurs avec l'énumération des actions et des perspectives du syndicat pour finir avec la petite touche d'espoir en des lendemains chantants... sur une musique qui reste à composer.
Après quelques bonnes tentatives de diffusion du programme d'animation, le SILA, hier, a fait un autre pas, et non des moindres, dans la communication : les visiteurs ont eu la Lettre du SPL. Il est vrai que la publication n'est pas l'oeuvre des organisateurs du Salon, mais celle du Syndicat des professionnels du livre (SPL) qui a pris sur lui de se charger de la communication et de l'information. En effet, dans son premier numéro, la Lettre du SPL, s'interdisant de faire dans l'exclusive et de se réserver uniquement au syndicat, offre une place appréciable -la une entre autres- au Salon et se met gracieusement à la disposition de ses visiteurs.A la une, la Lettre annonce la couleur et s'exprime à «livre ouvert» dans un éditorial qui, en une colonne, s'efforce de faire un panoramique (où tout n'est rose, loin s'en faut) du marché du livre en Algérie.
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