Afrique: Réforme pénale et pénitentiaire en Afrique: Punir dans le respect de la dignité humaine

Ouverte le 18 septembre 2002 dans la salle de conférences de Ouaga 2000, la IIe conférence panafricaine sur la réforme pénale et pénitientiaire a pris fin avec la déclaration de Ouagadougou pour accélérer la réforme pénale en Afrique. La cérémonie de clôture a eu lieu le 20 septembre 2002, sous la présidence du ministre de la Justice, garde des Sceaux, monsieur Boureima Bad

La IIe conférence panafricaine de Ouagadougou sur la réforme pénale et pénitentiaire, qui fait suite à la première tenue à Kampala en 1996, a clos ses travaux dans la salle de conférences de Ouaga 2000. Après trois jours d'échanges, 123 délégués de 38 pays dont 33 africains, sur une quarantaine attendue, ont abouti à la déclaration de Ouagadougou. Il a été demandé que cette déclaration visant à accélérer la réforme pénale et péntitentiaire en Afrique, adoptée par consensus à la fin du forum, soit transmise à la XIIe session de la Commission des Nations unies pour la prévention du crime et la justice pénale.Les participants ont noté avec satisfaction des progrès réalisés dans l'amélioration des normes générales en matière pénitentiaire en Afrique conformément aux récommandations issues de la déclaration de Kampala sur les conditions de détention en 1996.

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