Algérie: CS Constantine : le retour de l'entraîneur Bracci compromis

Une prise en charge qui revient cher et un salaire mensuel difficile à assumer. Résultat : le coach français ne serait pas reconduit

Rencontré au détour d'une rue de Constantine, un membre du comité directeur, reconduit à la tête du CSC, nous a confié qu'il était peu probable que François Bracci reprenne la direction technique du club. Rien ne laissait pourtant présager un dénouement entre les deux parties, d'autant plus qu'elles étaient réconfortées par un retour parmi l'élite nationale. Il nous expliquera que la prise en charge de l'entraîneur français revenait assez cher à l'équipe et de nous expliquer alors que son salaire mensuel, de près de 5 000 euros, ne pouvait plus être assumé par la trésorerie. Auquel cas, Ali Khattabi, le président, aurait déjà proposé au driver sa renégociation, bien entendu en baisse. Il semble, par conséquent, d'ores et déjà hors de question que François Bracci accède à cette demande considérant pour sa part que le challenge était pour la saison prochaine plus important, envisageant une révision de son salaire à la hausse.En fait, d'une manière ou d'une autre, cette situation ne trouverait sa solution que par un règlement à l'amiable compte tenu de l'argumentaire contradictoire des deux hommes (Khattabi et Bracci) autour de la relation de travail qui les lie.

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