Les fraudes constatées et avérées au BEPC 2004, les perspectives de relance des activités de l'abattoir frigorifique réhabilité de Ouagadougou, les règles nationales en matière de sécurité en biotechnologie, ont constitué l'ossature des débats qui ont marqué le 14e point de presse du gouvernement.
Les interrogatoires en cours dans le milieu scolaire Ouagalais, afin de permettre aux officiers de police judiciaire de savoir qui a été à l'origine des fraudes au BEPC 2004, qui en a bénéficié et qui en a acquis à quel autre effet, seront poursuivis. Ce qui va permettre au ministère des Enseignements de prendre ses responsabilités, à travers les décisions et les sanctions qui s'imposent, quels qu'en soit les commanditaires et les bénéficiaires. C'est entre autres, ce qui est ressorti du 14e point de presse du gouvernement, vendredi 18 juin 2004 à Ouagadougou. Une rencontre entre représentants du gouvernement et la presse nationale qui a connu la présence de Joseph Kahoun (ministre de l'Information, intérimaire du ministre des Relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement), Laurent Sédégo (de l'Environnement et du Cadre de vie), Laya Sawadogo (des Enseignements), Alphonse Bonou (des Ressources animales) et Benoît Ouattara (du Commerce).
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