La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO), qui observe la scène politique nationale, estime que les acteurs politiques sénégalais ont anticipé, de façon accélérée, sur les campagnes législatives et présidentielles de 2006 et 2007. C'est pour cela qu'elle recommande que la liberté d'expression et d'opinion soit reconnue à tous les Sénégalais. Elle déclare, aussi, avoir pris toutes les dispositions nécessaires pour jouer son rôle en cas d'élections anticipées.
La Rencontre africaine pour la défense des Droits de l'Homme (RADDHO) recommande dans une déclaration rendue publique que « la liberté d'opinion et d'expression soit reconnue à tous les Sénégalais et Sénégalaises d'ici et d'ailleurs quel que soit le lieu où ils l'expriment, conformément à tous les instruments juridiques internationaux reconnus et intégrés dans le préambule de la constitution Sénégalaise. Mais aussi que la séparation stricte des pouvoirs judiciaires exécutifs et législatifs demeure pour éviter toute instrumentalisation politique des audits. » Cette recommandation de la RADDHO découle d'un constat d'agitation du climat politique sénégalais.
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