La communauté internationale considère certainement que la vie d'un
homme ne vaut pas celle d'un autre.
Sinon comment comprendre que Human Rights Watch, FIDH,
Amnesty-International, RADHO et autres organisations internationales des
Droits de l'Homme refusent obstinément de regarder dans la direction des
rebelles pour voir ce qui se passe à Bouaké et Korhogo. Aucun esprit
soucieux du parallélisme des formes et de l'équilibre des actes n'y
comprendrait quelque chose. On se souvient, en effet, de la levée de
boucliers qui a suivi la tentative d'insurrection étouffée à Abidjan le 25
mars dernier. ONG, gouvernements, tout le monde s'y était mis pour réclamer
la tête du président Gbagbo et des jeunes patriotes.
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