Kaolack — En perspective de l'explosion démographique prévue d'ici l'an 2020, nourrir la population mondiale demeure une équation. Aussi, a-t-on fait un clin d'oeil aux Organismes Génétiquement Modifiés (Ogm), pour savoir si ces derniers peuvent résoudre les problèmes de la faim en Afrique et dans le monde.
Plusieurs rencontres ont eu lieu à plusieurs niveaux. Mais également, il fallait informer et sensibiliser les acteurs au développement, agents techniques des ministères de l'environnement et de la protection de la nature, de l'élevage et d'autres partenaires à la base. C'est pour cette raison que le projet "Biosécurité" a tenu un atelier à l'intention des acteurs locaux de Kaolack, Fatick, Diourbel. C'était les 24 et 25 juin derniers, à l'hôtel de région, pour les informer et les sensibiliser sur le sujet. Sous l'égide du ministère de l'Environnement et de la protection de la nature (direction des parcs nationaux), et en partenariat avec le Programme des nations unies pour l'environnement (Pnue), et le Fonds de l'environnement mondial (Fem), l'atelier de Kaolack fait suite à celui de Saint-Louis qui avait bénéficié aux acteurs des régions de Saint-Louis, Matam et Louga.
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