Tunis — A deux jours du Sommet mondial de la société de l'information (SMSI), la Tunisie semble hésiter. On débloque, pour les bloquer aussitôt, les téléphones des dissidents et les sites Internet "subversifs" (Amnesty international, Reporter sans frontièresà).
On libère des prisonniers politiques, mais on tabasse des défenseurs locaux des droits de l'Homme. Vendredi soir, un journaliste du quotidien français 'Libération', qui avait rapporté de tels faits, a été sauvagement agressé par quatre inconnus en plein centre de Tunis sous les yeux de policiers.
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