Kinshasa — Des dirigeants de l'opposition tunisienne accusent le régime en place d'enfreindre les libertés fondamentales notamment la liberté des réunions. Allégations que les autorités tunisiennes ont balayées d'un revers de la main.
Des dirigeants de l'opposition tunisienne ont dénoncé mardi le «verrouillage» de la scène politique, accusant le pouvoir d'entretenir «une escalade» vis-à-vis de plusieurs formations de la société civile et de porter atteinte aux libertés fondamentales, dont la liberté de réunion, rapporte Associated press(Ap). Les membres du «Collectif du 18 octobre pour les droits et les libertés» ont tenu une conférence de presse au siège du Parti démocratique progressiste (Pdp, opposition légale), cerné par un dispositif de sécurité renforcé filtrant les accès aux locaux. Le chargé des affaires politiques de l'ambassade des Usa à Tunis, Brennan Gilmore, était présent à cette conférence de presse.
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