Jeudi dernier, la ville de Constantine a rendu un vibrant hommage au monstre sacré du malouf, Hadj Mohamed Tahar Fergani, qui fêtait ses soixante-dix-neuf printemps et une carrière exceptionnelle à maints égards.
On ne présente plus Fergani dont le parcours a été jalonné par des moments de joie et des périodes d'incertitude à la mesure de ses propres zigzags, entre l'amour d'un art auquel il a sans doute consacré le meilleur de lui-même et un appétit des choses terrestres qui l'a quelque peu desservi auprès des ascètes de la musique andalouse.
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