Johannesbourg — L'aide fournie aux petits exploitants doit prendre en compte certains risques prioritaires tels que les catastrophes naturelles, les évènements météorologiques exceptionnels ou encore la fluctuations des prix, s'accordent à dire les experts en agriculture ainsi que le dernier rapport de la Banque mondiale publié en octobre.
L'exposition à de « tels risques qui ne sont pas assurés [...] représente une lourde charge financière pour ces ménages ruraux », a indiqué le Rapport sur le développement dans le monde 2008: l'agriculture au service du développement -le dernier rapport de la Banque mondiale sur l'agriculture remontait à 1982. « La vente de biens ou de capitaux afin de pouvoir surmonter ces crises [vente de bétail ou de terres] créé des situations irréversibles ou peut retarder fortement le retour à une activité agricole productive ».
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