Le répit a été de courte durée, une seule journée... celle du premier janvier, autrement dit celle où dans une communion quasi parfaite les journaux ne paraissent pas comme qui dirait pour respecter la virtuelle disposition d'un deal tout autant virtuel entre ceux qui font l'événement et ceux qui doivent le vivre ou le subir... c'est selon.
Les terroristes ont de nouveau frappé au cours de la journée. «Là où personne ne les attendait», déduiront tous ceux qui vont partir dans tous les sens pour interpréter les «faits d'armes» d'illuminés encore ancrés au quaternaire. Ils frapperont sans doute une autre fois, cela est de notoriété publique, dans la mesure où le ministre de l'Intérieur lui-même n'a de cesse de le rappeler. Pourrait-il d'ailleurs en être autrement quand le terroriste a plus l'apparence du plus commun des citoyens.
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