Une semaine après le lancement du pain mixé, made in Mali, un constat s'impose : il est non seulement rejeté par les boulangeries mais aussi boudé par les consommateurs qui le qualifient de « takoula » ou de « pain Cérélac ». Visiblement, le ministère du Commerce et de l'Industrie n'est pas sorti de l'auberge espagnole.
Lancé avec fracas le 9 janvier dernier par la direction nationale de l'industrie et le Cadre de concertation de la filière pain (CCFP) comme alternative au coût élevé du blé, le pain mixé (60 % de farine de blé et 40 % de mil, mais, sorgho) ne semble pas trouver un écho favorable non seulement du côté des fabricants mais aussi de celui des consommateurs.
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