On le craignait depuis le début des tumultes entre Idriss Deby, le chef de l'Etat tchadien, et sa rébellion ; cela a fini par arriver.
L'état d'urgence instauré le 15 février dernier par le régime de N'Djamena suite aux combats qui l'ont opposé aux troupes de Nouri, d'Erdimi et de Makckaye a mis en berne la presse tchadienne et principalement celle privée. On le sait, une telle situation n'est pas faite pour plaire à tous, notamment à ceux qui osent pointer du doigt le gouvernement de Deby.
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