Kinshasa — « Le roi est mort, vive le roi ». C'est ce que l'on peut bien dire aujourd'hui au sujet de derniers développements de la situation politique à Cuba. Un pays sur lequel sont braqués les projecteurs de l'actualité internationale depuis que le « lider maximo » a finalement décidé, après plusieurs mois de résistance, de s'envoyer à la retraite.
Naturellement, le « départ » du « Comandete en jefe » qui a régné sans partage pendant presqu'un demi-siècle sur Cuba, ne pouvait que donner lieu à des commentaires en sens divers. Mieux à des spéculations de tout genre quant à l'avenir politique de cette île, voisine des Etats-Unis d'Amérique. Que va-t-il se passer à La Havane ? Quelle trajectoire ce pays, demeuré jusque-là comme une forteresse imprenable, va-t-il prendre ? Voilà autant de questions qui constituent la trame des analyses et autres projections sur ce qu'il convient désormais d'appeler « l'après Fidel ».
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