Port Louis — Ce n'est pas une psychose mais cela y ressemble. Les Mauriciens se calfeutrent contre l'insécurité. Les rubriques des faits divers abondent des cas de plus en plus singuliers et étranges. Sans pour autant jouer à l'alarmiste, il faut néanmoins reconnaître que la gangrène de la violence témoigne d'une maladie sociale réelle.
Il est question de la formation de la force policière afin qu'elle soit réellement intégrée à la communauté.
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