Certains édifices publics et de nombreux commerces ont été attaqués par les manifestants.
Tout est allé très vite dans la matinée d'hier, lundi 25 février. Très tôt le matin, ce sont d'abord les kiosques installés sur certaines artères de la ville qui ont servi de support aux manifestants pour ériger des barricades. Dans ce lot, c'est le Pari mutuel urbain du Cameroun (Pmuc) qui paie le plus lourd tribut : les kiosques verts de cette multinationale française sont systématiquement saccagés, et même brûlés. Quelques comptoirs de fortune complètent ce tableau. Et au fur et mesure que le temps passait, la tension montait au sein de la population. Les cibles des manifestants s'élargissaient aussi.
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