Pour répondre aux attentes des investisseurs, les PME camerounaises ont besoin d'augmenter leurs capacités managériales, techniques et financières.
Entre le barrage hydroélectrique de Nachtigal et l'extension de l'usine Alucam d'Edéa, les entreprises camerounaises, surtout les plus petites d'entre elles, auront de quoi s'occuper. On estime à 30% (soit plus de 200 milliards de francs CFA) la part d'opportunités qui devrait leur être consacrée sur un volume global de 700 milliards de francs CFA. Le gouvernement charge alors la Chambre de Commerce, d'Industrie, des Mines et de l'Artisanat (CCIMA) de mobiliser les entreprises camerounaises afin qu'elles attrapent la perche tendue. Encore faut-il disposer des arguments pour saisir ces belles affaires.
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