Le calme annoncé dans les grandes artères de Douala au deuxième jour du mouvement populaire de protestation contre la vie chère n'est que l'arbre qui cache la forêt.
A la vérité, le mouvement semble s'être durci mardi 26 février dans plusieurs localités de la République, avec des pertes en vies humaines. Le quartier Bonamoussadi dans l'arrondissement de Douala V a par exemple enregistré un mort. Les marchés sont restés fermés. Sur les rues et avenues, des bambins se sont amusés à organiser des parties de foot. Dans les ménages, la famine commençait à se signaler. Les quelques boulangeries qui ont consenti à fournir du pain étaient submergées.
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