Kinshasa — Le droit pénal congolais punit sévèrement tout avortement provoqué, sur soi-même ou par autrui. Le siège de la matière est aux articles 165 et 166 du Code pénal congolais livre Deux, qui répriment de 5 à 10 ans de servitude pénale un avortement sur soi-même, et de 5 à 15 ans celui par autrui.
Convenons que ce n'est donc pas cette dure répression qui empêche les jeunes Congolaises et Congolais de pratiquer l'avortement, loin s'en faut. Les avortements se font chaque jour, ou presque, et les quelques rares cas portés à la connaissance de l'autorité judiciaire compétente sont ceux qui se rapportent au décès des victimes.
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