Dans sa dernière livraison, elle donne à voir les péripéties des drépanocytaires.
Intervenant au colloque organisé par l'Université de Yaoundé en avril 1973 sur le critique africain, l'écrivain et critique antillais Daniel Maximin définissait les missions de la littérature en ces termes : " La littérature (...) doit présenter au public un miroir pour qu'il s'admire et se corrige ". Une trentaine d'années plus loin, on a l'impression que Chantal Julie Nlend a fait sienne cette orientation. Tant sa dernière livraison éditoriale a puisé dans ce postulat pour remettre au goût du jour la condition des drépanocytaires.
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