Kinshasa — Le régime du président centrafricain François Bozizé soupçonne le pouvoir de Khartoum d'être en complicité avec la rébellion centrafricaine. Cette accusation résulte de la déclaration du gouvernement centrafricain faite, le mardi 30 septembre 2008, à la suite de l'attaque perpétrée lundi dernier par le groupe d'hommes armés dans la localité d'Amdafock (nord-est), située à la frontière avec le Soudan.
Dans un communiqué du ministère de la Défense nationale publié le mardi 30 septembre 2008, la Centrafrique accuse son voisin soudanais, de favoriser la violation répétée du territoire et la constitution des rébellions dans le Nord-Est du pays.
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