Kinshasa — Le taux de participation lors de l'élection présidentielle du 12 juillet 2009 et les allégations de fraudes électorales sont au centre des polémiques entre le pouvoir et l'opposition. Raison pour laquelle les Congolais devront user de la tolérance, du patriotisme et de la maturité politique afin d'éviter les violences post-électorales et la déstabilisation du Congo.
Les autorités du Congo centralisaient, hier lundi 13 juillet, les résultats du scrutin présidentiel de la veille, déjà au centre de polémiques sur le taux de participation et des fraudes dénoncées par l'opposition, a constaté l'AFP. Le dépouillement, qui avait commencé le dimanche 12 juillet 2009 dès la fermeture des bureaux, était «fini» hier lundi matin, selon le ministre de l'Administration du territoire, Raymond Mboulou, dont les services co-organisent le scrutin avec la Commission d'organisation nationale des élections (Conel).
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