Kinshasa — Les pourparlers malgaches sur un partage du pouvoir entre les quatre principaux chefs politiques restaient, hier mercredi 26 août, bloqués sur le poste du président de la transition. Reste que les protagonistes de la crise malgache parviennent, au nom du patriotisme, de surmonter leurs divergences pour doter à leur pays des institutions consensuelles de transition.
Les pourparlers malgaches sur un partage du pouvoir entre les quatre principaux chefs politiques patinaient, hier mercredi 26 août à Maputo, en particulier sur la nomination du président de la transition, selon des sources concordantes. «Ça bloque, ils ne s'entendent sur aucun poste sensible», a indiqué l'AFP citant une source proche de la médiation.
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