Suite à la nouvelle réglementation introduite par les autorités algériennes dans la sphère économique et commerciale, le Medef prend acte et essaye de s'y adapter. C'est le propos de Laurence Parisot, sa présidente en exercice. Elle s'exprimait hier au terme d'un entretien avec le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar.
Mme Parisot a dit comprendre l'adoption de ces mesures, parce que tout le monde y est soumis ; les entreprises françaises n'en font pas exception. «Et si je suis à Alger aujourd'hui c'est pour se comprendre davantage, pour travailler ensemble, pour montrer à toutes les sociétés françaises qu'il faut continuer à investir en Algérie, à y venir», a-t-elle dit. La présidente du Mouvement des entreprises de France a noté qu'il fallait savoir travailler dans le cadre de ce nouvel environnement et qu'on est dans une bonne dynamique. Selon elle, il «n'y a aucun problème» entre les entreprises hexagonales et algériennes, bien au contraire, il y a des choses qui se font.
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