Cameroun: Mini-cités universitaires - Le casse-tête de l'insécurité

Les cas d'agressions sont de plus en plus nombreux autour du campus de l'université de Douala.

Il y a peu, des malfrats se sont introduits dans une mini-cité non loin du stade Cicam à l'Essec. Portant des cagoules, ils ont dépouillé les locataires de leurs portables, bijoux, argent, ordinateurs, etc. Après avoir enjambé le portail qui jouxte l'entrée des lieux, les malfrats se sont positionnés devant chacune des 20 chambres modernes que compte la mini-cité. Les forces de l'ordre opérant dans le secteur avouent que les mini-cités durant ces dernières semaines sont les cibles privilégiées de malfrats. Le mode opératoire est connu. « En général, ils arrivent en grand nombre, entre six et douze personnes, cagoulés et armés de machettes ou de « Tchaka », des armes de fabrication artisanales », apprend-on à la brigade de recherche de Ndogbati II, l'une des unités des forces de l'ordre qui couvrent le secteur de l'université.

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