La natation continue à être un luxe dans notre pays. Il n'est pas aisé, pour les amateurs de crawl et de brasse et pour ceux qui voudraient tout simplement barboter dans l'eau, histoire de «dégraisser» leurs muscles, d'avoir accès aux piscines tant celles-ci ne sont accessibles qu'à une catégorie restreinte de citoyens.
Les tarifs d'accès sont exorbitants, tout comme le sont les prix pratiqués pour les produits de consommation qu'il faut acquérir sur place - interdiction est en effet faite d'introduire avec soi tout aliment - et ne sont à la portée que d'une certaine frange de la population. Ces lieux sont connus, mais on ne peut même pas s'imaginer à l'intérieur.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article