L'action de la Commission nationale des terres et autres biens, la CNTB, chargée de régler les problèmes fonciers liés au retour des réfugiés burundais de l'étranger, faisait l'unanimité jusqu'ici, mais ce consensus vient de voler en éclats car l'Uprona, le principal parti issu de la minorité tutsi de ce pays, accuse le président de la CNTB d'être un extrémiste hutu.
Quelque 700 000 Burundais, réfugiés en Tanzanie, sont rentrés d'exil depuis 2002. Parmi eux, des dizaines de milliers de réfugiés de longue date, dont les terres ont été occupées par d'autres personnes : une bombe dans ce pays où 90% de la population vit de l'agriculture.
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