La situation sécuritaire au Nord-Kivu demeure « tendue et imprévisible », à cause de graves violations des droits de l'homme commises sur les populations locales par le M23 (Mouvement du 23 mars), les FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), les Maï-Maï Nyatura et les Rahiya Mutomboki.
Les graves violations « se caractérisent par des viols, enlèvements, détentions arbitraires, taxations illégales, actes de banditisme, pillages et incendies de maisons », a expliqué mercredi 31 octobre à Kinshasa le porte-parole militaire de la Mission de l'ONU pour la stabilité du Congo (Monusco), Félix Prosper Basse, au cours du point de presse hebdomadaire.
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