Rivotril, rohypnol ou encore nova. Ce sont là les quelques médicaments, classés comme des «dangerous drugs» qui circulent, depuis quelque temps, parmi des collégiens. Ce fléau qui prend de l'ampleur intéresse les services de la police.
Quelques collégiens discutent en face de la librairie municipale de Curepipe. L'un d'eux sort soudain un flacon contenant des comprimés et en distribue à ces amis. «Kiete sa ?», demande un de ses camarades. «Du rivotril», lui répond le distributeur, «acheté à Rs 75 l'unité». Il ajoute : «Nou bwar enn la byer lor la apre nou apresye.»
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