Kampala — Tous les jours, au moins cinq femmes sont amenées à la salle de gynécologie de l'Hôpital national de référence de Mulago à Kampala, en Ouganda, pour le traitement de complications causées par des tentatives grossières d''interruption de grossesse.
Selon Dr Charles Kiggundu, le chef du département de gynécologie de l'hôpital, certaines des femmes qui viennent ici boivent de l'essence ou prennent des combinaisons non testées d'herbes et de médicaments pour provoquer un avortement. DÂ'autres insèrent des bâtons dans leurs vagins.
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