Hier Laurent, aujourd'hui Simone Gbagbo ; ce n'est donc pas pour demain la fin du calvaire des anciens dignitaires ivoiriens, contraints depuis la chute du palais de Cocody, le 11 avril de l'an 2011, à la clandestinité ou aux tristes réalités des maisons carcérales, et pour cause.
A quoi les disciples pouvaient-ils, en effet, s'attendre si le "messie" de Mama, lui-même, déchu de son trône dans la pire des humiliations, rumine, depuis le 30 novembre 2011, son règne tumultueux entre quatre murs, à mille lieues de sa Côte d'Ivoire natale à la Cour pénale internationale (CPI).
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