La dynamique que connaît Tunis depuis le début de cette session 2012 des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) ne peut passer inaperçue, elle mérite plutôt qu'on s'y arrête pour apprécier l'impact socioéconomique d'un secteur bizarrement mis à l'index depuis la montée en flèche d'un mouvement d'ensemble réfractaire et allergique à toute forme et toute expression artistiques.
Le plus important ici n'est pas de savoir qui a raison et qui a tort - on ne gagne rien à ruminer tout le temps un débat aussi infécond et inutile. Le plus sage et raisonnable serait de saisir cette vérité palpable qui s'offre à nous dès lors que la culture bouge dans le pays.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article