Dans un Mali en état de faillite générale, il se trouve curieusement un ministre des Affaires étrangères pour expliquer la position des autres pays, directement concernés par l'évolution de la situation au nord de Bamako.
C'est à ce funambulisme que s'est donné le ministre malien, Tieman Coulibaly, pour qui «il n'y a pas de refus officiel de l'Algérie de participer à une intervention militaire au Nord-Mali». L'argument de M. Coulibaly est plus un cautère sur une jambe de bois. Il évoque le fait que l'Algérie a adopté la résolution onusienne qui autorise le déploiement d'une force africaine au nord du Mali.
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