À une ou deux exceptions près, la classe politique française, dans son immense majorité, salue la décision du chef de l'Etat d'engager les troupes françaises aux côtés de l'armée malienne.
François Hollande est désormais « chef de guerre ». Sept mois après son arrivée à l'Elysée, le président qui aspirait à une présidence normale et que ses opposants aimaient à dépeindre en homme indécis, connaît aujourd'hui son baptême du feu au Mali.
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