Perte de clients, recettes faibles, l'activité serait moins rentable dans ce secteur. Des mois déjà que ce mini-classeur traîne dans cette boutique de vente de meubles située au quartier Olezoa à Yaoundé. A 180 000 F, ce meuble en Sapelli exposé au milieu de lits, salons, salles à manger, peine à sortir.
« S'il était fabriqué avec du Bubinga, il coûterait entre 250 000 et 300 000 F et on l'aurait déjà vendu », confie Vasco T. Kano, responsable de ce commerce. Des meubles, en Bubinga, ce menuisier n'en a plus. Seule pièce restante, ce lit rangé à l'arrière de sa boutique.
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