Arusha — Les automobilistes de la petite ville tanzanienne d'Arusha semblent avoir oublié, depuis plusieurs mois déjà, les désagréables sirènes matinales de véhicules onusiens conduisant à l'audience des accusés du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR). Le parc automobile réservé à cette institution est de plus en plus clairsemé.
Dans les couloirs du tribunal, il n'y a plus de bousculades d'avocats. « Nous nous approchons de la fin de notre mandat », expliquait le président du TPIR, le juge Vagn Joensen, en présentant un rapport en octobre dernier à l'Assemblée générale de l'ONU. Le TPIR entame en effet son avant-dernière année après avoir terminé tous ses procès en première instance et la plupart des appels.
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