Les arts plastiques restent une discipline culturelle marginale en Algérie, et ce n'est sûrement pas la faute aux artistes peintres qui se démènent comme ils peuvent pour exister à travers leurs oeuvres que le monde ignore «royalement».
Ces artistes n'ont strictement aucun soutien ; ni de la part des pouvoirs publics, ni des opérateurs économiques, ni même de la société qui a cessé de s'intéresser aux beaux arts depuis notamment la décennie quatre-vingt-dix de feu et de sang. Il faut dire que cette période a été destructrice sur tous les plans et la culture est le secteur qui a payé le plus lourd tribut, particulièrement en infrastructures.
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