Plus de 200 personnes venues du gouvernorat de Gafsa ont manifesté devant l'Assemblée nationale constituante (ANC), le jeudi 17 janvier 2013, pour réclamer que les victimes de la répression de 2008 au bassin minier soient reconnues en tant que blessés et martyrs de la révolution.
A 9h00, Fathya Maâzaoui était déjà devant le siège de l'Assemblée nationale constituante au Bardo. En 2008, son fils avait été gravement blessé par les forces de l'ordre, lors du soulèvement à Gafsa. Elle-même a été agressée par les policiers à son domicile, après qu'ils aient défoncé les portes de sa maison. «Je suis encore debout malgré tout et le serai encore pour me battre pour mes enfants», a-t-elle dit.
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