Le président centrafricain, le général François Bozizé, a eu chaud début janvier, il n'avait pas l'esprit à la fête, les rebelles de la Seleka ayant été aux encablures de la capitale, et son fauteuil, sérieusement menacé. N'eût été l'interposition du contingent de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEMAC), avec en première ligne les militaires tchadiens, il était aujourd'hui en exil ou entre les mains des rebelles.
Par ces temps qui courent, le verbe avoir chaud peut aisément être conjugué au présent et avec pour sujet le nouveau premier ministre censé conduire la transition.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article