Les universitaires ont montré leur solidarité, hier, pour dénoncer l'insécurité. Mais aucune réponse claire ne leur a été donnée pour résoudre ce problème.
Famille de l'étudiante du département de Sociologie assassinée à Ankatso, étudiants, enseignants-chercheurs et personnels administratifs et techniques de l'université d'Antananarivo, ils étaient plus de deux mille selon les organisateurs à réclamer la sécurité à l'université d'Antananarivo, hier. La tenue blanche et le silence ont été les mots d'ordre pour revendiquer cette sécurité. Mais cette marche silencieuse a été rompue après vingt minutes lorsque l'une des cousines de la victime qui ne souhaitait pas approcher du lieu du crime où ont été déposées les roses blanches, a failli s'évanouir en pleurant derrière un mur.
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