On voudrait tant pouvoir se débarrasser du marasme. La place politique est devenue contraignante. On y étouffe. On se sent à l'étroit. Cela empeste la moisissure. Pourtant, on est supposé être toujours dans le registre du nouveau. Côté gouvernants s'entend.
Le remaniement ministériel ajourné à maintes reprises est devenu obsessionnel. Il cause davantage de dégâts qu'il ne soulage la donne. A force de traîner en longueur, il a fini par virer à l'abcès de fixation. Comme dans ces vieux couples déchirés où la moindre saute d'humeur fait ressurgir des rancoeurs accumulées des décennies durant.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article