Si en termes de rendement offensif, le plus prestigieux des tournois continentaux n'a pas tenu toutes ses promesses, les surprises, bonnes comme mauvaises, n'ont pas manqué. Des exploits et des déconvenues, des larmes de joie ou de tristesse au moment où certains sont tombés de très haut pendant que d'autres, moins attendus, monteront de très bas, le premier tour de la messe footballistique africaine, c'est sûr, aura été riche en émotion.
C'est vrai que cette 29e édition de la CAN n'a, jusqu'ici, pas tenu toutes ses promesses en matière de qualité de football. Des matchs d'un niveau technique passable parfois à la limite du mauvais. Peu de buts, par conséquent, comparé à la phase de poules de 2012. Quarante-neuf (49) buts inscrits, soit une moyenne de 2 buts par matchs, dans les quatre groupes contre soixante-une (61) réalisations lors de la défunte édition. Oublions les statistiques et parlons émotions et sensations.
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