L'idée de décaler la présidentielle et les législatives du mois de mai et de juillet fait son chemin. Cependant, les premiers responsables du processus électoral refusent encore de la confirmer d'une manière officielle.
La retouche du calendrier électoral est évoquée à demi- mot. La Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) et les partenaires techniques et financiers ne sont plus catégoriques sur la possibilité de tenir la présidentielle le 8 mai et le second tour, couplé avec les législatives, le 3 juillet.
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