En janvier 2011, la Tunisie avait ouvert la voie aux révolutions arabes. La voilà désormais en proie à une grave crise politique, après l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd, survenu mercredi 6 février 2013. De nouvelles manifestations ont eu lieu ce jeudi à Tunis et Gafsa.
A Siliana, les manifestants s'en sont pris au siège du parti Ennahda. Ce vendredi, jour des obsèques, le pays sera à l'arrêt. La puissante Union générale tunisienne du travail (UGTT) et plusieurs partis politiques appellent à la grève générale.
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