Nous connaissons, aujourd'hui, une situation paradoxale. Les uns accusent nos diplômés d'être «incultes» et d'un niveau bas en comparaison avec d'autres pays. Les autres défendent la thèse opposée et montrent que nos compétences sont appréciées à l'étranger et qu'ils occupent, parfois, des postes de premier rang.
Les deux visions sont réelles. Culturellement, nos élèves et nos étudiants souffrent de grandes carences. Les scientifiques sont « faibles » en culture générale et en humanités et les autres «faibles» en connaissances scientifiques.
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